Découvrez comment l’équipe d’ATP Zagreb a utilisé PlanRadar pour le suivi du chantier de 6 bâtiments commerciaux
Avec PlanRadar, ATP Zagreb a réduit de 50 % le temps consacré à la gestion des défauts
ATP Zagreb est une entreprise de construction basée en Croatie. Cherchant à améliorer ses processus de supervision de la construction, elle a mis en place PlanRadar pour suivre l’avancement des travaux, gérer les documents et collaborer avec les clients et les entrepreneurs.
Elle a ainsi réduit de 50 % le temps consacré à la gestion des défauts et estime que le logiciel l’a aidée à rendre la communication plus transparente et a gagné en efficacité.
Le défi : Comment optimiser et accélérer la correction des défauts sur les chantiers
«Nous sommes un bureau interdisciplinaire. Nous comptons dans nos rangs des architectes et des ingénieurs spécialisés dans l’ingénierie mécanique et électrique», Branko Knežević, directeur général et directeur du bureau d’architecture d’ATP Zagreb. «Nous avons également notre propre département BIM, car nous travaillons avec des modèles BIM depuis près de 10 ans». Malgré le travail d’équipe bien rodé et interdisciplinaire dans la phase de planification, il était très important pour les architectes et les ingénieurs de l’équipe ATP Zagreb de trouver un moyen d’accélérer et d’alléger le travail d’inspection des chantiers.
Auparavant, pour assurer la collecte et l’enregistrement des défauts, les ingénieurs devaient apporter sur le chantier plusieurs appareils, en plus de toute la documentation spécifique au projet. Cela induisait ensuite encore des heures de post-traitement au bureau. La documentation des défauts s’accompagnait donc d’une charge de travail importante, causant un réel problème pour les ingénieurs d’ATP en raison des ressources considérables nécessaires à la supervision du chantier.
La solution : PlanRadar a réduit de 50 % le temps de création des listes de défauts et a nettement augmenté la productivité des chefs de chantier
La clarté et la transparence de communication qu’offre PlanRadar est déterminante pour le succès du projet. ATP utilise le logiciel pour communiquer avec divers partenaires externes, tels que les investisseurs et les sous-traitants. «Contrairement aux anciennes méthodes de communication, PlanRadar fonctionne de manière transparente. La communication par e-mail entraîne souvent une perte d’informations involontaire», note Branko Knežević.
La caractéristique la plus importante de tout logiciel est sa facilité d’utilisation. Les ingénieurs et les architectes d’ATP travaillent généralement sur plusieurs projets en même temps, si bien qu’ils n’ont pas le temps d’apprendre de nouvelles technologies complexes. Avec PlanRadar, même les nouveaux utilisateurs créent leur premier projet en quelques minutes.
Un autre avantage de la plateforme est son incroyable flexibilité, elle peut facilement être configurée pour s’adapter aux besoins précis de ses utilisateurs. ATP peut ainsi enregistrer ses projets dans PlanRadar avec toutes leurs caractéristiques spécifiques, et les utilisateurs peuvent ensuite personnaliser différents paramètres et fonctions dans le logiciel.
Le résultat : PlanRadar assure une communication transparente entre le chantier et le bureau
ATP avait besoin d’une solution informatique qui permettrait de gagner du temps lors de la gestion des défauts de construction. Ils recherchaient un logiciel développé par des experts ayant une connaissance approfondie du secteur de la construction, pour en comprendre intimement tous les problèmes et défis. Avoir tout dans un seul outil semblait la solution idéale. C’est pourquoi ATP a choisi PlanRadar.
Malgré le bon fonctionnement du travail d’équipe et de l’approche interdisciplinaire d’ATP Zagreb, il était très important pour les architectes et les ingénieurs de trouver une solution qui réduirait le temps de travail et les coûts de supervision du chantier pendant la phase de planification.
«Nous avons tout de suite compris que PlanRadar est un excellent produit car il s’agit d’un logiciel qui tient compte de nos méthodes de travail», explique Branko Knežević.